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Ruisseau de vie
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28 novembre 2006

Des mots...

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La seule vraie rébellion est la recherche du bonheur…

Evidemment que cette citation, je la préfère entre toutes ! Parce qu’elle contient les mots : vraie, rébellion et bonheur.

Vrai : pour toute cette vérité que je m’efforce de bien vouloir regarder depuis plus d’un an. La mienne, évidemment, confrontée à celle des autres. Avec un va-et-vient entre la réalité, l’objectivité, la tolérance et la connaissance de mes différences. Cependant, les émetteurs ne sont pas les récepteurs et le chemin entre est souvent étrange, avec des interférences que l’on ne voulait pas, que l’on ne croyait pas possible ou simplement espérées et enfin là.

Rébellion : Pour être une rebelle à la monotonie ! Jamais voulu faire dans l’ordinaire. Toujours essayé de passer par la porte étroite, au risque de fracturer les bordures de mon cœur que je sais immense. Aussi, car j’ai un côté mutin, autant enfantin que révolté. Je n’aime pas la médiocrité, le laisser aller, l’à peu près ou le « se contenter ». Nous sommes des machines humaines, bourrées de talents, capables du meilleur et du plus sordide. Alors mon opiniâtreté n’a d’égale que ma recherche de tout ce qui peut se bonifier dans les personnes que je rencontre et qui font partie du grand spectacle de ma vie.

Quant au bonheur, j’en ai souvent déjà débattu ici. La particularité que j’amènerai est qu’il n’est pas un but à atteindre, mais bien un moyen de parcourir sa vie. C’est l’élément qui donne la fantaisie de se satisfaire de tous les détails de l’existence et par là même, du banal comme de l’extraordinaire.

 

Ensuite… Vivre pleinement, c’est prendre la liberté de changer ou non et d’accepter que l’on est toujours en perpétuelle évolution. Ce sont les erreurs personnelles qui forgent la vérité de chacun, et ainsi la diversité et les millions de possibilité relationnelle.

Lorsque j’ai traversé mon désert en mai et juin dernier, c’est ma croyance dans le magique qui m’a le plus aidé, car alors au milieu de mes grands tourments, j’ai toujours réussi à sourire à un simple rayon de soleil, même caché derrière des milliards de nuages noirs. J’ai conduit mon corps entre les mains d’autres plus compétents tout en assurant ma lucidité et en assumant les risques qui m’étaient imposés. J’ai appris à dire « ce que mon corps génère, il peut le défaire » et je lui ai transmis l’envie d’être guéri.

Enfin, dans tout cela, j’ai préféré déguster mon présent parce qu’il n’est pas concerné par mon avenir que je me garderais bien d’apprendre à prévoir…

 

Voilà, je crois qu’en résumé j’ai été bercée par des pensées durant mon enfance que j’ai reçues selon ma sensibilité et au final, je suis en accord avec moi-même et tout ce que j’ai bien voulu en apprendre.

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Commentaires
L
c super bo
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A
trop bo
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A
alors là ! j'en reste sans voix !<br /> c'est exactement ce que je pense !<br /> <br /> salut je suis de retour , tu devines comme tes propos touchent juste
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G
Et comme tu as raison Agnès, nous avons tous une force incroyable en nous, il nous suffit de la sentir vibrer quand nous sommes au plus mal, de garder espoir, de savoir comme tu le dis regarder et s'émmerveiller d'un rayon de soleil.<br /> Dans les plus douloureux moment j'avais écrit un poeme sur cette force. Il est sur mon blog. Et puis d'aileurs tous mes poemes, même les plus tristes les plus douloureux, finissent par une note d'espoir. Parce que la vie c'est aussi esperer les jours meilleurs.<br /> Je t'embrasse, petite rebelle...Re Belle.
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